Cette fois-ci, c’est sur la Nintendo Switch OLED que j’ai décidé de refaire la série Les Chevaliers de Baphomet 5 : La Malédiction du serpent. J’ai eu l’occasion d’y jouer, mais lorsque je l’ai vu au prix de 2,99 euros sur le Nintendo eShop, je n’ai pas pu résister et finalement, je l’ai acheté. D’un côté, une réduction de 90 %, cela ne se refuse pas, car au départ, il est affiché au prix de 29,99 euros et il est au même prix, sans réduction, que Les Chevaliers de Baphomet : L’ombre des Templiers que j’ai achetée 29,99 euros, mais sur PlayStation 5.
Je me rappelle avoir y jouer pour la première fois au jeu Les Chevaliers de Baphomet : L’ombre des Templiers sur la PlayStation 1. J’ai le souvenir que c’était une merveilleuse découverte et depuis, j’adore cette série. D’ailleurs, j’avais déjà publié un article en date du 8 mai 2022, que vous pouvez lire ici. Cependant, l’offre sera disponible jusqu’au 29 décembre 2024, et si vous voulez en profiter ou le découvrir, je vous le recommande vivement, car ce jeu en vaut vraiment la peine.
Une aventure palpitante semée de malédictions
Toute l’histoire tourne autour d’un mystérieux tableau que l’on surnomme « La Maledicció » et qui tue au passage Henri, le propriétaire de la galerie Le Lézard Bleu ainsi qu’un prêtre nommé Simon qui a une peur bleue de ce tableau maléfique. Et de ce fait, Nico et George Stobbart, commencent une nouvelle enquête afin de débusquer des trafiquants d’œuvres d’art.
J’adore ce jeu comme l’humour qui réside. Ce que j’aime par dessus tout, c’est bien évidemment l’histoire qu’il y a derrière, mais le graphisme et les énigmes à résoudre font de cette série un jeu d’exception et facile à prendre en main. Par contre, il n’est pas aussi facile qu’on pourrait le croire. Il y a des énigmes qui m’ont vraiment donné du fils à retordre, mais je trouve ça excitant de les résoudre, et même temps, très satisfaisant.
C’est une série que je recommande assez souvent à mes amis qui ne la connaissent pas. Je trouve ce jeu assez intéressant et je pense que cette série a tout de même le mérite d’être joué au moins une fois dans sa vie.